Tant qu’à placer, on place

Un téléphone Instinct de Samsung avec votre aspirateur Dyson? Heh heh…

Nothing is more precious than family moments… except maybe 20$. This summer turn your loved ones into cash with blatant product placement.

C’est un vrai concours organisé par Sprint et non pas une blague. Comme disait un commentateur sur le Web, « au moins ils ne t’obligent pas à utiliser exclusivement leur téléphone pour filmer la vidéo en question. » (Pas besoin d’acheter l’appareil pour participer car les images à insérer dans la vidéo sont disponibles sur le site de Sprint.)

Bien sûr, les Canadiens ne sont pas admissibles au concours…

Check here

Fantastic opening title sequence for a New Zealand movie in which the main character battles the Revenue Department: We’re here to help. And it was done with only 7,000$. Nice, and encouraging for those working with low budgets.

According to the filmmaker’s blog, the producer of the movie described the film industry in New Zealand as « the opposite of a duck – frantic on the surface, not much happening below. » Reminds me of something… The director also wrote on his blog: « film is a collaborative medium for which the director gets most of the credit. »

Thanks to Karl for the link.

La critique et le peuple

On dit souvent que les critiques de films sont élitistes et que leur opinion n’a ultimement aucun lien avec les recettes au guichet.

Il semble bien qu’on se trompe. Le journaliste Erik Lundegaard a publié un article dans le magazine Slate (Why We Need Movie Reviewers) dans lequel il fait des calculs qui prouvent selon lui le contraire. Rien de scientifique, mais les chiffres qu’il fait ressortir sont intéressants. En utilisant la méthode de calcul des revenus des films par salle (vs les recettes totales), le journaliste constate que les films qui ont reçu de bonnes critiques rapportent plus par écran que ceux qui ont reçu de mauvais commentaires et ce, même dans le cas des soi-disant inébranlables blockbusters.

Sa conclusion?

Almost any way you slice it, if a majority of critics like a movie, chances are it will do better at the box office than a similar film the majority of critics don’t like. Far from being elitist, movie critics are actually a pretty good barometer of popular taste.

What does all of this mean? Not much and everything. I certainly accept the fact that America’s overall cultural tastes have degraded. Serious films for adults, such as The Best Years of Our Lives, The Bridge on the River Kwai, The Graduate, and The Godfather, were all No. 1 box office hits for their respective years. So was Saving Private Ryan as recently as 1998. Seems an eternity ago. Now even our most critically acclaimed films are cartoons: Persepolis, Ratatouille, and The Simpsons Movie.

Euh… Persepolis et Ratatouille, ce sont des cartoons? J’aurais eu plus de confiance envers la conclusion de ce journaliste si son opinion n’avait pas été aussi réductrice. Les films étaient bien meilleurs dans le temps, bla bla bla. Ben oui. Et moi quand j’étais jeune je devais marcher sur une distance de 20 kilomètres dans la neige en montant une pente pour me rendre à l’école. *baillement*

Mais tout de même, il faudrait que quelqu’un fasse le calcul avec les films et les critiques québécois pour voir si on en arriverait aux mêmes conclusions.

Pour ceux que le sujet intéresse tout particulièrement, je vous conseille la lecture de la retranscription d’une conversation en ligne entre l’auteur de l’article et les lecteurs de Slate. On y donne plus de détails sur la signification de ces chiffres et sur l’évaluation des méthodes de calcul des revenus générés par les films.

Trouvé via Writer’s blog

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