Vision d’horreur

En regardant le cou de la dinde qui gisait parmi les restes du r�veillon, j’ai eu tout un flashback qui m’a donn� des frissons d’horreur. Quand j’�tais enfant, nous conservions pr�cieusement les os des cous de dinde et de poulet, nous les faisions s�cher au four pour ensuite les laver et les monter sur un fil avec des perles de bois pour en faire un collier. C’�tait encore plus laid que ceci, croyez moi. Ma m�re devait vraiment �tre dans une p�riode tr�s « macram� » pour nous faire assembler une horreur pareille.

By Martine

Screenwriter / scénariste-conceptrice