La r�dactrice en chef du magazine de cin�ma 24 images, Marie-Claude Loiselle, y va d’un �ditorial percutant republi� dans Le Devoir concernant la fameuse « crise du financement » des films qu�b�cois.
Elle dit tout haut ce que beaucoup de gens dans le milieu pensent tout bas. �a vaut la peine de la lire jusqu’au bout.
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Ouais. Personne ne lit Marie-Claude Loiselle. Tout le monde lit Fabienne Larouche.
Ce qui m’emmerde, c’est qu’� cause d’une minorit�, les gens croient que le cin�ma est une affaire d’enfants g�t�s et que la « crise » en est une de gosses de riches. Pour cinq millionaires culturels qui effectivement s’en mettent plein les poche, il y a un paquet de gens tout plein de talent qui veulent juste faire des bons films. Et faire rouler l’�conomie en les faisant. Parlez en au village qui a accueilli la gang de Grande S�duction!
Et puis, les maudites enveloppes � la performance, c’est les producteurs qui en profitent! Les cr�ateurs, eux, niet. Donc, si un producteur fait un hit avec un team d’auteur-r�alisateur (qui, la plupart du temps a pass� plusieurs ann�es � monter le projet, comme Crazy, dix ans) il peut tr�s bien d�cider de ne PAS faire son prochain film avec eux.
Je suis convaincue que c’est la diversit� qui fera notre force. Pas juste des films intimistes ou des bons cops.
Les deux!
poches avec un s. Scusez.
Bien dit!
Je suis pour la diversit� en toutes choses mais disons que je l’appr�cie particuli�rement au cin�ma. ;-)