Being a screenwriter at a press junket or a movie premiere is like being the stinky kid in high school: nobody wants to sit with you at the cafeteria and nobody cares to talk to you (especially not journalists*).
I guess it’s very suited that my first movie junket experiences are for a film that takes place in high school… I should have listened to the much more experienced Chroniques Blondes who told me to simply skip these events. Live and learn. Oh well. Public torture and humiliation makes for great writing material anyway. ;-)
*Except for the Voir journalist. ;-)
What you need is a posse. You need three or four bloggers to come with you and pretend to be journalists who crowd you and laugh at your every joke and are fascinated the rest of the time. *sigh* Ben oui, faut accepter que les « vrais » journalistes font les moutons!
Bravo pour le scénario , la comédienne Mélissa a souligner ton excellent travail lors de l’émission Plus sur commande.
Bonne chance !!!
@vieux bandit: Finalement j’ai eu l’honneur d’accorder une entrevue téléphonique à Kevin Laforest du Voir. L’article sort jeudi prochain. Comme quoi il ne faut pas tous les mettre dans le même paquet. ;-) (Je déconne, bien sûr. Je n’oserais jamais mettre tous nos journalistes au culturel dans le même paquet. Ça ferait un paquet bien trop étrange…)
Joe: Merci! J’ai été touchée de voir la générosité de Guy et de Mélissa pendant l’enregistrement ce soir! Ce sont tous les deux des personnes extrêmement gentilles et pas « vedettes » pour deux sous. De vrais pros.
Martine, faut pas m’écouter! Je ne suis pas un exemple à suivre. C’est Vieux Bandit qui a raison, il te faut un « posse »! Et bravo à tes deux acteurs. C’est si rare qu’ils y pensent qu’il faut le souligner.
Bon, moi j’ai à peu près huit ou neuf appareils photo à mettre en bandouillère, une petite enregistreuse, et plein de crayons (et je peux emprunter des jeux électroniques au Petit Coco et faire semblant d’avoir un blackberry s’il le faut!). On va où? (S’il y a des cocktails, alors là , je m’en enfile deux ou trois et je fais le « social butterfly » et je dis à tout le monde « Oh, avez-vous parlé à la belle scénariste? C’est une perle, ma chère! C’est une machine à scoop! C’est LA personne à qui il faut parler, trésoooor! »)