Journée consacrée au Barcamp montréalais.
Restez à l’antenne de ni.vu.ni.connu pour des commentaires tout au long de la journée…
ou encore…
Encouragez votre cinématographie nationale et allez voir un film québécois!
Scénariste/conceptrice
Journée consacrée au Barcamp montréalais.
Restez à l’antenne de ni.vu.ni.connu pour des commentaires tout au long de la journée…
ou encore…
Encouragez votre cinématographie nationale et allez voir un film québécois!
This afternoon, I sat in on a private screening of the movie I co-wrote… dubbed in English! The screening was organized by the movie lab in order for the producers to approve the English language version. They are planning on taking this version to the Cannes international film market next month.
I had read and pre-approved the translation on paper, so I knew that the dialogue was right, but still, it takes some getting used to! I hadn’t watched a dubbed movie in a long time and I had forgotten how awkward it can get at first, especially when you are very familiar with the actors’ voices. The shock didn’t last too long though, as the dubbing job is really well done.
There will be an English subtitled version produced as well, a mandatory step to participate in the competition for which we were selected at the Zlin Film Festival in the Czech Republic. It’s great to see this little film get so much mileage! It’s up to 1.7 million dollars at the box-office in Quebec, and it has received over 860 reviews on Cinema Montreal, with an average score of 9.3 out of 10, which keeps it in the first position of the Web site’s top ten francophone films.
Les curieux qui s’intéressent aux coulisses du cinéma voudront peut-être aller faire un tour du côté du blogue du film À vos marques… party! Je viens d’y publier un billet qui illustre, exemple à l’appui, le passage d’une scène tirée du scénario, au storyboard du réalisateur, jusqu’à la scène finale, telle que tournée. Il n’y a pas que sur les DVDs qu’il y a des suppléments!
Parce que tout s’est fait très rapidement, je n’ai eu l’occasion de rencontrer le réalisateur du film qu’une seule fois avant le début du tournage, et nous avons à peine eu le temps d’échanger quelques mots. (Note: La productrice était aussi co-scénariste.) J’étais donc un peu nerveuse quant à sa vision du scénario puisque je ne connaissais pas du tout son travail. Je me suis présentée sur les lieux de tournage lors de la première journée et j’ai observé la scène, en retrait. À ma demande, le producteur délégué m’a remis une copie du storyboard de Frédérik et je me suis installée dans un coin pour le lire. Dès les premières pages, j’ai été rassurée: Frédérik avait fait un superbe travail très détaillé et son découpage montrait une excellente interprétation du scénario.
J’ai levé les yeux et ce que j’ai vu m’a semblé être un bon signe: trois des personnages du film (les trois Audrey) venaient de prendre vie devant moi. Les trois actrices avaient développé une complicité tout à fait semblable à celle de leur personnage sur papier. J’ai immédiatement sorti mon cellulaire pour croquer la scène sur le vif.