Film de geek?

Du bonbon pour le geek en vous: le film Pirates of Silicon Valley est disponible gratuitement sur Google Video. Le film a été produit en 1999 et il raconte, de manière romancée, la rivalité entre Steve Jobs et Bill Gates. Noah Wyle (anciennement de ER) fait un Steve Jobs étonnant! Le film débute avec le tournage de la célèbre pub de Apple à la sauce 1984. Ah, nostalgie!

Tout ça me fait penser au projet de film sur Mafiaboy, dont je ne vous ai pas parlé depuis longtemps. Eh non, le projet est loin d’être oublié et des annonces pourraient être faites d’ici quelques mois. Je sais, je sais… Je m’encourage en me disant que l’attente est normale et qu’un film comme Little Miss Sunshine a mis 7 ans entre la rédaction du scénario et la production du film. La nouvelle la plus excitante, c’est qu’un excellent acteur américain, connu pour son personnage clé dans une des séries les plus importantes et les plus appréciées de l’histoire de la télé, a lu le scénario, l’a aimé et a accepté d’y jouer l’un des deux rôles principaux. Je suis à peine redescendue de mon petit nuage depuis que j’ai appris cette nouvelle, il y a quelques semaines. Maintenant que nous avons LE bon réalisateur pour le projet, il ne reste plus qu’à convaincre ceux qu’il faut convaincre de financer le film. Plus facile à dire qu’à faire, comme vous vous en doutez. La présence d’ordinateurs dans le scénario fait peur, au point où ça semble obscurcir les thèmes au coeur du récit, thèmes universaux et humains qui n’ont rien à voir avec l’informatique.

Peut-être que la meilleure stratégie pour les convaincre serait d’inviter Noah Wyle d’assister à une réunion de financement? Il pourrait leur faire son discours d’ouverture du film Pirates of Silicon Valley:

I don’t want you to think of this as just a film, some process of converting electrons and magnetic impulses into shapes and figures and sounds. No. Listen to me. We’re here to make a dent in the universe. Otherwise why even be here? We’re creating a completely new conciousness, like an artist, or a poet. That’s how you have to think of this. We’re rewriting the history of human thought with what we are doing.

Il me semble que ça pourrait faire belle impression, non? ;-)

via Cult of Mac.

Agréable vendredi

La maison sent bon le chocolat et les épices chai. Je viens de faire une batch de cupcakes, ma contribution au souper potluck de ce soir. Je suis honorée de faire partie d’un beau line-up de blogueuses.

Alors que j’écrivais ces mots pour décrire un vendredi déjà très agréable, le téléphone a sonné. La productrice (ma co-scénariste) voulait m’annoncer une bonne nouvelle: À vos marques… party! vient d’être sélectionné pour faire partie de la compétition officielle du Festival Zlin en République Tchèque (International Film Festival for Children and Youth). C’est un des plus vieux festivals de films pour la jeunesse au monde et ça se déroule juste après Cannes, à la fin du mois de mai prochain. Tiens, moi qui ne suis jamais allée à Prague, il me prend des envie de voyage…

Writers directing

The L.A. Times says that 2007 is the year of the writer-director.

Consider Mike White, the droll, white-haired scribe behind « The Good Girl » and « School of Rock, » who says he used to be a « really bad backseat driver » on the sets of the movies he wrote. « You’re completely stressed in each situation trying to figure out how to manipulate everyone into doing what you want them to do. » But directing — that’s a charm, says White. « You can actually say what you want. »

White just helmed his first film — « Year of the Dog, » the tale of a woman (Molly Shannon) who really, no, really, loves animals. In fact, he joins a bumper crop of brand-name writers making directorial debuts in 2007. They include Oscar nominees Scott Frank (« Out of Sight ») and Susannah Grant (« Erin Brockovich »), John August (« Charlie and the Chocolate Factory »), Oscar winner Alan Ball (« American Beauty), Zach Helm (« Stranger Than Fiction »), Tony Gilroy (the Bourne movies), Robin Swicord (« Little Women ») and perhaps the most singular screenwriter of his generation, Charlie Kaufman, an Oscar winner for « Eternal Sunshine of the Spotless Mind. »