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La droite n’est plus ce qu’elle �tait

Alors qu’une guerre est imminente et que nous remettons en question nos concepts de la droite et de la gauche, certains se penchent sur des th�mes un peu plus frivoles, mais qui sont tout de m�me sujets � controverse. Une �tude allemande vient de d�montrer que la grande majorit� des gens inclinent la t�te vers la droite quand ils s’embrassent. �a aurait � voir avec une dr�le d’habitude prise par le foetus dans le ventre de sa m�re. (via Wired News)

Si vous �tes c�libataire et que vous vous emmerdez demain soir pendant la St-Valentin, pourquoi ne pas vous rendre dans un lieu public, comme l’ont fait ces chercheurs allemands, et prendre des notes sur les baiseurs � droite vs les baiseurs � gauche? Des heures de plaisir scientifique en perspective…

Faites l’amour, pas la guerre, du moins c’est ce que pr�nent ces gens.

En caravane allons � la cabane

Un �change sur le site du Capitaine Bonhomme des fran�ais me donne une id�e: en mars prochain, nous devrions faire une classe verte (ou plut�t blanche) avec le groupe de YULblog � la cabane � sucre. Il y a plusieurs anglophones dans ce groupe qui n’y sont jamais all�s et puis quelques n�o-qu�b�cois qui n’ont pas eu leur bapt�me de sucre. J’ai de nombreux souvenirs de mitaines mouill�es qui sentent la vieille laine, de balades en skidoo et de batailles � la tire d’�rable qui finissent avec du sirop plein les cheveux. Une merveilleuse tradition, je vous dit, ces parties de sucre! Il faut cependant manger la tire avec des b�tons de bois, pas avec des cuill�res, comme le font les gens sur les photos de cet hyperlien. Incultes!

On pourrait louer un mini-bus et chanter:
En caravane allons � la cabane
Ho, h� Ho!
On n’est jamais de trop pour go�ter au sirop
Pour go�ter au sirop
D’�r� � bleeeeeeeeee!
(J’ai un peu mal au coeur juste � me rappeler cette chanson.)

Le probl�me c’est que les cabanes authentiques se font rares et qu’il faut souvent r�server des semaines � l’avance…

In a part of town not too far from me, Steph is reading under the dim light of a lamp.

Later that night, I finally settled on the couch with a book, very close to the heat of the fireplace. I turned all the other lights off in my place and kept a dim light on. As I started reading and struggled to form the words in front of me, I heard the voice of my mother. She said: « Tu vas te briser les yeux � force de lire dans le noir, ma liseuse! »

She used to worry about my reading habits, claiming I would ruin my eyes. She would walk up to my reading spot and turn a lamp on, or get it closer to my book. More than the weak light, I think she worried about the fact that I was very, very far away, and she wanted to bring me back to her world, if only for a second.

Tonight, as I heard her voice, it was my turn to be glad she was back. For a second.