Plume libre

« Écrire pour le cinéma, c’est se damner pour une écriture qui n’existe pas, une écriture zombie qui ne sort que la nuit pour déchirer l’humain et le régurgiter au petit matin. Une écriture sur laquelle tout le monde essuie la merde qu’il a sous les pieds afin de pouvoir faire le film. »

Ça, c’est une perle tirée du roman Je compte les morts (Libre Expression) de la scénariste blogueuse – et maintenant romancière – Geneviève Lefebvre. Des perles comme ça, il y en a plusieurs dans le livre et je n’en suis qu’au chapitre 11. Je dose et je savoure.

Geneviève, on sent ta plume follement libre. Que c’est agréable!

Ça doit faire un bien fou.

Mini Mardi 23

Touche pas à mon pote. Il me raconte des secrets. Tu peux pas comprendre.

Rencontre SARTEC

Dans le cadre de son 60ième anniversaire, la SARTEC propose une série de rencontres dont la première a lieu ce mercredi, 23 septembre, à 20h30. C’est à la salle Claude-Jutra de la Cinémathèque Québécoise à Montréal. L’entrée est libre.

Que serait le cinéma sans histoires ?
Écrire est une longue aventure solitaire, pleine de joies et d’obstacles. L’écriture d’un scénario de long métrage relève du défi. Des auteurs partageront avec nous leur expérience de l’écriture cinématographique. Ils nous parleront de leur rapport organique avec la création et nous raconteront comment ils abordent l’acte de créer en tenant compte des contraintes du médium.

Rencontre animée par Sylvie Lussier, avec:
Joanne Arseneau, Sans elle
Diane Cailhier, Le Survenant
Pierre Szalowski, Ma fille, mon ange
Ken Scott, Les doigts croches
Ian Lauzon, De père en flic