� venir: singeries de mars

Nous sommes en plein milieu du mois, c’est donc le temps de vous pr�senter le prochain sujet des singeries de mars. Le mois dernier, certains d’entre vous avez trouv� que le sujet �tait un peu s�rieux alors nous y allons avec quelque chose de moins introspectif ce mois-ci. Bien que…

Pour un explication d�taill�e du concept des singeries, allez voir du c�t� de Blork.

Mercredi de cette semaine, le 17 mars, nous vous invitons � nous parler d’une (ou de plusieurs) balade m�morable en taxi. Si vous n’avez rien d’int�ressant � raconter � propos des taxis, soyez bien libres d’�tirer le th�me un peu et de d�crire une exp�rience de transport int�ressante o� vous n’�tiez pas au volant et o� vous ne connaissiez pas personnellement le chauffeur. Les road-trips avec des amis, les trains, les avions et les bateaux ne comptent pas. On voudrait voir la rue avec vous, vivre chaque tournant, sentir l’odeur du conducteur, �couter vos conversations, partager vos impressions et vos sentiments et arriver � destination en m�me temps que vous. Rien de m�morable? Dites-vous bien que parfois, ce qu’il y a d’int�ressant dans une course en taxi, ce n’est pas le parcours lui-m�me mais l’�tat d’esprit dans lequel on se trouvait � ce moment l�…

Comme d’habitude, vous pouvez simplement faire une liste de vos exp�riences ou encore choisir d’en d�crire une seule en d�tails. Il n’y a rien d’obligatoire mais si vous participez, ce serait gentil de me laisser un commentaire � la fin de ma singerie de mars pour que je puisse aller vous lire.

All power to the imagination

Real sex makes it to the screen so seldom that it is freeing to see actors allowed to do what lovers do in real life: enjoy each other’s scents, juices, contours. When Michael Pitt lies with his head on Eva Green’s crotch, nuzzling her pubic hair with his nose or twirling it between his fingers, you feel the bracing pleasure of having common experience acknowledged on the screen. Art isn’t always about telling us what we don’t know. It’s also about publicly telling us what, because of politeness or our own timidity, we don’t admit to knowing.

Charles Taylor reviews The Dreamers on Salon.