On verra beaucoup ce clip sur le Web dans les prochains jours, mais je le blogue pour mes archives et pour la postérité.
C’est drôle… mais ça donne envie de pleurer.
Scénariste/conceptrice
On verra beaucoup ce clip sur le Web dans les prochains jours, mais je le blogue pour mes archives et pour la postérité.
C’est drôle… mais ça donne envie de pleurer.
C’est ce soir, mercredi, le 10 septembre, à 21h00, que débute à Télé-Québec la série documentaire Cinéma québécois, consacrée, comme son nom l’indique très clairement, au cinéma d’ici.
Les 13 épisodes d’une heure seront chacun centré autour d’un thème: L’ivresse des débuts, le désir, la politique, l’évolution des valeurs, Hollywood PQ, etc.
Le site Web qui accompagne l’émission vient juste d’être mis en ligne. C’est un projet ambitieux dont on espère faire « une véritable encyclopédie en images du 7e Art québécois » avec des centaines de fiches, plus d’un millier d’extraits de films et des entrevues exclusives.
Je n’ai vu aucun épisode – les blogueurs n’étaient pas invités aux visionnements de presse ou à la première – alors je ne peux pas commenter sur le résultat final. Je serai cependant devant mon écran de télé ce soir pour le premier épisode. Si vous le regardez aussi, faites-moi signe et dites-moi ce que vous en avez pensé. L’émission est en rediffusion vendredi, samedi et dimanche.
Note: Je collabore actuellement sur un projet avec le même producteur que celui de cette série documentaire.
En fouinant dans la programmation d’automne de Télé-Québec hier, j’ai découvert que l’excellente télé-série américaine, The Riches, a été traduite en français. Ça s’appelle Dans la peau des Riches, et ça commence mercredi soir, le 10 septembre, à 22h00 à Télé-Québec. (En rediffusion les samedis à 19h00).
C’est l’histoire d’une famille de gypsies habitués aux petits larcins qui se retrouve au milieu d’une imposture difficile à gérer: celle de prendre la place d’une famille américaine bien nantie… et décédée. Le chemin vers le rêve américain est tout croche et parsemé d’embûches, au point où la famille va se demander si ça en vaut vraiment la peine. Mais on prend vite goût à la richesse…
C’est bien écrit, les dialogues sont savoureux et souvent drôles, les personnages juste ce qu’il faut d’attachants et de pervers, et c’est doté d’un suspense étonnant. C’est aussi rempli de commentaires provocants à propos de la société américaine. Je n’étais pas une fan de Minnie Driver, mais elle est surprenante dans cette série créée et scénarisée par Dmitry Lipkin.
Pour ceux qui préfèrent les versions originales, la première saison est disponible en anglais sur DVD et la deuxième saison vient de débuter hier soir (dimanche) sur Showcase.