Beau-thé verte

Dans mes recherches sur les desserts faits à partir de poudre de thé matcha, je suis tombée sur des photos superbes qui ont ravi mes yeux et m’ont fait saliver!

Je me suis donc amusée à les rassembler en une petite galerie d’art thématique sur Flickr: I heart matcha.

Madeleines au matcha

J’aime le vert, surtout le vert tendre avec un peu de jaune dedans. C’est évident dans le design de mon blogue comme dans la décoration de notre maison.

Récemment, je suis tombée sur une recette sur le Web dont la couleur a tout de suite retenu mon attention. Il me FALLAIT faire ce mi-cuit au chocolat noir avec cÅ“ur au chocolat blanc et thé matcha. J’ai trouvé une boîte de matcha « spécial cuisine et pâtisserie » de Création Thés C. G. au marché Atwater et je me suis lancée. Le délicieux résultat m’a donné envie de poursuivre mon exploration pâtissière avec la poudre de thé vert.

La semaine suivante, j’ai eu l’honneur de préparer de nouveau la même recette de mi-cuit au matcha pour quelques amis blogueurs, dont Annie du superbe blogue 2 Capricieux. Par coïncidence ce soir-là, Annie avait préparé des sablés au matcha qui étaient absolument délicieux. Quelques jours plus tard, j’essayais sa recette avec succès (mais sans penser à prendre de photo).

Hier soir, ce fut le tour des madeleines au matcha. Je n’avais jamais fait de madeleines et mes recherches sur le Web m’ont permis de constater que plusieurs chemins menaient aux petits gâteaux de Proust. J’ai choisi cette recette mais avec un four un peu moins chaud (350F mode convection pendant 15 minutes au lieu de 400F pendant 20 minutes). Les madeleines étaient croustillantes à l’extérieur et moelleuses à l’intérieur. J’ai même réussi à obtenir la fameuse petite bosse sur le dos de la madeleine, un phénomène désirable à ce qu’il paraît. J’ai par contre obtenu une pâte d’un liquide consistant qui, une fois réfrigérée pendant 3 heures, comme le demande la recette, avait une texture étrange qui ne se tenait pas bien. Ça ne semble pas avoir affecté le résultat final cependant.

Étrange monde que celui de la chimie des aliments… J’en ai beaucoup à apprendre sur le sujet. J’aimerais bien suivre des cours de pâtisserie pour me guider un peu. En attendant, motivée par le vert, je poursuis mes expériences avec le matcha. La prochaine chose sur la liste? Un gâteau comme celui-ci peut-être?


Photos par Blork.

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Coppola’s method

Despite the long layoff between scripts, Coppola’s writing process has not changed a bit over the years. His most famous method is that once he begins a new script, he never goes back over pages to re-read or rewrite until he finishes the first draft. This unique process, which is often cited by his longtime friend George Lucas as the best rule about screenwriting he ever received, works for Coppola because it frees him of any doubts he may have about the work. « You have a lot of doubts when you read in unfinished fragments' », he explains.

Once he’s about 15 pages into his draft, Coppola will stop and, again, without going back and judging what he’s written, take stock as to where he’s going from here. « I might do a small step-outline from that point to a foreseeable point I’d like to get to, » he says. « Then, after maybe 60 pages in, I’ll do another step-outline that gets me through to the ending. » Though the outlines helps him get organized, he refrains from over-plotting. « I really don’t like working it all out in advance, » Coppola continues. « I want the actual working on it to give me more flavors and allow intervention to take place during the actual writing sessions that I do. »

From the May-June 2009 issue of Creative Screenwriting Magazine.